Quels sont les signes d'un chiot bien socialisé ?

Un chiot bien socialisé est un petit compagnon qui a appris à interagir de manière positive avec le monde qui l'entoure. Cela signifie qu'il a été exposé à une variété de personnes, d'animaux, d'environnements et de situations, et qu'il a appris à les aborder avec confiance et curiosité.

Les signaux d'un chiot équilibré

Voici quelques signes qui indiquent qu'un chiot est bien socialisé :

1. La confiance en soi  : Un chiot bien socialisé se déplace avec assurance, que ce soit à la maison ou dans de nouveaux environnements. Il n'est pas excessivement craintif ou timide lorsqu'il rencontre de nouvelles personnes ou situations.

2. Les réactions calmes : Face à des stimuli inconnus, comme des bruits forts ou des mouvements soudains, un chiot bien socialisé reste calme et ne montre pas de signes de peur excessive ou d'agressivité.

3. Le jeu approprié : Lorsqu'il joue avec d'autres chiens ou animaux, un chiot bien socialisé sait comment moduler son comportement, évitant d'être trop agressif ou soumis. Il comprend les signaux sociaux et y répond de manière appropriée.

4. L'absence d'anxiété de séparation : Bien que tous les chiots puissent ressentir une certaine anxiété lorsqu'ils sont laissés seuls, ceux qui sont bien socialisés sont capables de rester seuls sans devenir excessivement anxieux ou destructeurs.

5. L'obéissance et adaptabilité : Un chiot bien socialisé répond aux commandes de base et est capable de s'adapter à différentes routines et environnements sans devenir stressé ou perturbé. 

6. Une curiosité saine : Il montre de l'intérêt pour explorer de nouveaux environnements et faire de nouvelles rencontres, il peut être réservé sans montrer de signes de peur ou d'agressivité.

La socialisation est un processus continu qui commence dès les premières semaines de vie d'un chiot et se poursuit tout au long de son développement. Elle est cruciale pour le bien-être émotionnel et comportemental du chien, et elle contribue à forger un développement comportemental canin équilibré. Un chiot bien socialisé est plus susceptible de devenir un chien adulte heureux et bien ajusté, capable de participer pleinement à la vie de famille et de société.

Comment peut -on protéger le cerveau de son chien  vieillissant

contre le dysfonctionnement cognitif ?

Il est tout à fait naturel de s'inquièter de la santé de son chien prenant de l'âge,  surtout lorsqu'il s'agit de son bien-être mental. Le dysfonctionnement cognitif existe chez le chien.

"la vieillesse est un naufrage" disait le Général De Gaulle 

Le dysfonctionnement cognitif 

Le dysfonctionnement cognitif peut affecter les chiens tout comme les humains. Cependant comme chez les humains, des mesures sont à prendre afin d'aider à protéger le cerveau vieillissant de son chien. Le dysfonctionnement cognitif canin est souvent comparer à la maladie d'Alzheimer chez l'humain, peut affecter nos chiens en vieillissant. Ce dysfonctionnement cognitif peut se manifester par une désorientation, des changements dans les interactions sociales, des troubles du sommeil, une diminution de l'activité. Ce changement de comportement peut -être déroutante pour les propriétaires, comme chez l'homme il existe des moyens pour gèrer ces symptômes et d'améliorer la qualité de vie de nos chers membres à quatre pattes de la famille.

Toutefois, une diminution d'activité peut-être souvent causée par des difficultés de mobilité [arthrose, arthrite...]. 

L'alimentation

"La santé est dans l'assiette", une alimentation saine et variée, de qualité est un gage de bonne santé mentale également. Une alimentation équilibre riche en antioxydants est bénéfiques. Des aliments tels que les épinards, les myrtilles, le saumon...Sont connus pour leurs propriétés neuroprotectrices. 

L'exercice  quotidien

Les balades régulières, les roulades dans l'herbe et ou sur la terre, dans la gadoue...Sont bonnes pour le corps et le mental.

Chaque jour les articulations et le cerveau sont à stimuler, ainsi ils restent actifs.  Il faut proposer à son chien vieillissant des jeux, des jouets, un temps de balade...Tous sont à  adapter à son chien afin de ne pas le mettre en situation d'échec.

La routine quotidienne sécurise le vieux chien, réduisant le stress ; Tout comme les aménagements facilitant sa mobilité. 

Le relationnel

Il est important de maintenir des contacts sociaux auprès des chiens calmes, non agressifs. auprès de personnes humaines de tous les âges repectueux. Lors de visite, n'isolez pas votre chien mais veillez à la tranquilité, les cris sont épuisants pour tous. 

Même précaution si vous avez repris un chiot,  le vieux chien doit être protégé de la fougue sans être mis à l'écart. Le chien senior lui apprendra en vieux sage sa place dans la famille. Un chiot ou un chien adulte peut aider le chien senior en le stimulant, c'est un fait. Cependant, tout va dépendre de plusieurs facteurs  dont l'état de santé et des conditions d'accueil, puis de votre possibilité de temps à donner à un chiot ou un jeune chien qui réclame beaucoup de temps de formation et des besoins d'exercice parfois supérieur au troisième âge en plus de toute l'attention à accorder au vieux chien, à part d'avoir choisi une race de chien adaptée à la situation ; Comme, avec les enfants, un vieux chien ne doit pas être laissé seul avec un autre chien. Les vieux chiens sont à protéger de certains chiens à fort tempérament de prédation, d'ailleurs à New York, il existe des parcs à chien dédié au 3eme âge.

Le chien senior  qui garde un esprit vif et curieux, s'intéressant à son environnement [[observation, reniflage, écoute...] par son exploration, bénéficiant d'une alimentation de haute qualité, de produit naturel pour ses articulations ainsi que pour ses soins...Toujours prêt à suivre aura une bonne longévité dans les meilleures conditions mentale et physique.  N'oubliez pas un chien vieillissant, c'est un chien ayant partagé de nombreux moments joyeux et tristes avec sa famille humaine  alors ne le délaissez pas !

La maladie de la myélopathie dégénératrice

chez le chien berger allemand

La race de chien Berger allemand souffre de maladie héréditaire dont la myélopathie dégénératrice [DM1A] ;  Cette maladie peut être dépistée via un test de dépistage par ADN de quelques dizaines d'euro. 

La myélopathie dégénératrice 

Cette maladie  touche progressivement en moins de 24 mois le système nerveux du chien atteint. Une atteinte du système nerveux entraine des difficultés à se mouvoir  jusqu'à une incapacité totale. La myélopathie dégénératrice est appelée radiculomyélopathie dégénératrice de la moelle épinière. Les nerfs de la moelle épinière se détruisent peu à peu au fil des mois, la perte graduelle de la coordination et du contrôle moteur chez le chien ; Certaines races de chien sont à risque telles que le Berger Allemand et le Boxer., le Bouvier Bernois. 

Les premiers symptômes sont  :

• Une perte d'équilibre (Ataxie proprioceptive),
• Incapacité du chien à replacer ses membres postérieurs lors de la marche

Puis dans les 6-12 mois,  une évolution vers paraparésie non ambulatoire, une incontinence urinaire et fécale

Puis dans les 18 mois, une évolution vers la paralysie des membres antérieurs, impossibilité d'uriner et d'avaler. 

La myélopathie dégénératrice chez le chien Berger Allemand

Une maladie affectant de manière disproportionnée la race de chien Berger Allemand. 35 % des chiens Berger Allemand  sont porteurs ou à risque de la mutation génétique (DM1A). 17 % de ce groupe des 35 % vont recevoir vers l'âge senior un diagnostic de myélopathie dégénératrice.  Une maladie mortelle causée par le gène  superoxyde dismutase  1 (SOD1) du chromosome 31 duquel deux mutations de ce gène ont été observé. Une seconde mutation a été identifié  dans plus une centaine de race de chien sauf  que des chiens homozygotes ne développent pas la maladie. Les chiens qui ont malheureusement deux copies de l'allète mutante SOD1 du chromosome 31, ce sont eux qui vont  potentiellement déclencher la maladie. Potentiellement à risque de développer la maladie car, la maladie peut être retardée ou éviter grâce à un ensemble de facteur encore inconnu. Il est avancé que d'autres gènes sur un chromosome peuvent provoquer la maladie.

Ceux qui n'ont pas cette chance, vont développer la maladie dès l'âge de 8-9 ans.  Le symptôme précurseur du diagnostic de myélopathie dégénératrice est l'éraflure des coussinets postérieurs par les ongles car le cerveau ne sait pas si les coussinets sont posés au sol. L'évolution de la maladie va au dernier stade par l'incapacité d'uriner, et l'impossibilité d'avaler de la nourriture alors si la plus grande preuve d'amour envers son animal n'est pas faite, le chien malade  devra être nourri par sonde et un cathéter devra être posé pour évacuer l'urine. 

Cadre de vie : Aménagement 

S'équiper pour un confort de vie de couchage haut et offrant un confort orthopédique  s'adaptant à la forme  et à la température du corps. 

De ce coussin ou ce matelas en mémoire de forme sera à  protéger par une alèse jetable ou lavable, de couverture facilement lavable d'où le chien malade  en dernier stade sera changé de côté toutes les 4-6 heures soit 6-3 fois par jour de manipulation pouvant être compliquée et douloureuse. 

Des alèses jetables ou lavables en quantité, 

Des gamelles surélevées au niveau des coudes du chien pour plus de stabilité

Un moyen de levage et de soutien à la marche par harnais 

 L'installation de rampe d'accès

Les attèles d'aide à la marche

Les soins 

Il n'y a  aucun traitement médicamenteux pouvant stopper l'évolution de la maladie  mais la physiothérapie. La physiothérapie est une discipline de la santé vétérinaire aidant au maintien, au développemet, à rétablir le mouvement et la capacité fonctionnelle.

Une bonne alimentation riche en protéine animale aide à garder une bonne musculature.

Dépistage

La transmission est héréditaire, maladie génétique touchant  la mutation d'un gène du chromosome  non sexuel, se déclenchant sur deux chromosomes hérédités de chacun des parents. Dès 2009 les éleveurs sérieux ont fait dépister par ADN leurs chiens afin d'éradiquer cette maladie.  Le choix de l'éleveur est très important. 

Les bienfaits d'un animal de compagnie

Face aux détracteurs, ceux-ci veulent interdire toute présence animale en collectivité, la science mets une fois de plus en avant les bienfaits d'avoir auprès de soi un animal de compagnie. 

Les bienfaits 

Que vous soyez en couple, en couple avec enfant, en solo....Quelque soit votre âge, le fait d'avoir à s'occuper d'un animal de compagnie est profitable à votre santé.physique et mentale. Le fait de posséder un chien et ou un chat est nettement profitable à sa santé, à la santé de ses enfants. La présence d'animaux à poils auprès des enfants dès leurs plus jeunes âges permet d'augmenter les défenses immunitaires. Ces enfants ont très peu de chance de développer une allergie plus tard, ou de souffrir à répétition d'infection ORL...

Les animaux entrainent une routine journalière dans les soins, les promenades, le ménage...Cette routine est bénéfique pour la santé mentale tant pour les "jeunes" et les "personnes âgées".

Le fait d'être responsable d'un être vivant doué de sensibilité  augmente l'épanouissement personnel d'un individu, adulte, adolescent, enfant. Par conséquent, la réussite d'avoir bien réussi les soins, les promenades, les intéractions...Booste la confiance en soi, puis l'estime de soi.  Être bien responsable s'apprend en ligne également, la connaissance permet de bien agir vis à vis de son animal, ainsi d'augmenter sa confiance en soi. 

L'animal apportant le plus de bienfait, c'est le chien. 

Puisqu'avec un chien, ce sont des sorties en extérieur. Ces sorties régulières sont sources de rencontre inter-générationnelle, inter-classe sociale...Le sujet de discution sur le chien bien entendu. Ces échanges évitent l'isolation des personnes en zone urbaine, l'urbanisation glace les relations entre les habitants ; Des habitants plus dans des routines "boulot-dodo" et moins tolérant vis à vis de la nature. Une nature s'effaçant au fil des constructions. 

Le chien permets de lier les personnes de tous les horizons sociaux lors des conversations, lors d'activités canines (expositions, loisirs...) ; La  vie en ville en solo est allégée des conséquences de la solitude . La présence d'un chien apport de la chaleur relationnelle, de l'affection, un soutien emotionnel, puis la sécurité en donnant l'alerte.  Les promenades offrent la régularité dans la santé cardiaque, des articulations aident à vivre plus longtemps en bonne santé.en autonomie. 

Un tel bénéfice pour la santé, il serait bien de rembourser  annuellement un montant suivant l'animal possédé pour mieux s'en occuper et en augmenter son épanouissement,  car un animal contribue à maintenir en bonne santé à réduire le déficit de la sécurité sociale ; D'autres pays le font !

 Les chiens luttent contre la solitude et l'égocentrisme. La solitude n'est plus encore faut-il croiser des miroirs pacifiques et sociables ;  Les  agressions, les harcélements...Qui eux causeront des traumatismes, de l'angoisse, une possible dépression...Les "incivilités" se doivent d'être combattues pour la santé publique de tous les citoyens respectueux. 

Les seniors, les retraités et les chiens 

Les personnes seniors sont  appelées les personnes du troisième âge, c'est-à-dire âgé de 60 ans et plus. Tandis que dans le milieu de travail, une personne senior c'est à partir de 45 ans. äge où, il est plus difficile de se faire recruter ; Quant au domaine sportif, la catégorie "senior" concernen les personnes âgées  à partir de 20 ans jusqu'à 40 ans.

Parmis les projets de vie, certaines personnes font le projet d'être à la retraite afin de s'offir un chien.  Ces projets sont contraints au rythme de vie imposé par le temps trajet -  temps boulot - temps déplacement retour maison - dodo.  Les temps de trajet sont croissants car les personnes doivent s'éloigner du lieu de travail pour se loger.  Ce qui allonge le temps d'absence du logement ; Puis, l'absence de proche ou de proche disponible à cause de la durée de cotisation, isolent les foyers.  Cet isolement a des conséquences sur les liens inter-générationnels, sur l'entre -aide. 

Toute une société subit les conséquences dans les secteurs de l'enseignement, de l'action sociale... Car, l'augmentation de la durée de cotisation, de l'âge de départ à la retraite augmente ces "fractures générationnelles".   

L'étape de vie 

Bien souvent les personnes en activité ( travail) dont les horaires ne correspondent pas à l'accueil d'un chien font le choix d'attendre d'être à la retraite afin de concrétiser la possession d'un chien. Ce chien fort désiré est attendu des années dans le but de bien l'accueillir dans le foyer et d'être présent pour lui.

Alors qu'avoir un chien rajeunit de 10 ans d'après une étude, des personnes soucieuses ont fait le choix de vie d'attendre la retraite pour bénéficier pour la première fois pour s'offrir la présence d'un chien.  Tant d'abnégation de soi  pour être plus présent, de s'inventer un  meilleur futur. Cette représentativité d'une vie de repos après le travail auprès d'un chien, une qualité de vie obtenue par le revenu du travail. 

Plus de revenu fixe, plus de disponibilité mais plus de fatigue et parfois une mauvaise santé.   Au moment où, ces personnes étaient en meilleure forme, le boulot les accaparé le temps. Il est reconnu par diverses études scientifiques médicales qu'un chien est un moteur de bien être.  Le chien à toutes les étapes de vie, permet de bouger, d'intéragir...Le chien évite l'isolement social, évite l'exclusion sociale ( à part de posséder un chien catégorisé), évite le replie sur soi car, il est nécessaire de s'occuper de cet être vivant doué de sensibilité n'étant plus considéré comme un objet ou une chose. 

Le chien compagnon des Rois et des Reines, est inclassable socialement tant qui apportera affection, fidèlité, loyauté... à toute personne bienveillante envers lui qu'il soit Roi, qu'il soit Bourgeois, qu'il soit ouvrier...Qu'il soit sans abri ; Le chien est désintéressé par le montant du compte en banque. 

Quelque soit votre âge, un chien vous apportera la sécurité, plus une bonne santé. En effet, une personne s'occupant d'un chien reste autonome plus longtemps.

Attendre ?

N'attendez pas la retraite pour avoir un chien, vous ne savez pas dans quel état vous serez à l'âge de départ à la retraite. C'est bien de projecter mais la réalité peut être autres. Par contre, il faut avoir de l'organisation et c'est un budget !! 

Une fois à la retraite, vous aurez de plus de possibilité d'activité avec votre chien. 

Le fait de s'engager auprès d'un chien, cet engagement implique les autres générations. Dans le but d'assurer le devenir du chien après soi.  C'est le premier frein des personnes retraitées suite au décès de leurs compagnons pour en reprendre un autre chien.  Un nouveau chapitrre s'ouvrira avec la bienveillance générationnelle en arrier plan tant pour son parent âgé (arrier grand-parent, grand- parent, parent, grand oncle ou grande tante...) que pour le chien. Être présent tant pour un que pour l'autre, s'impliquer dans leur avenir commun, être soudé, être solidaire, être une famille.  Parler du devenir après, préparer l'après en apportant quand c'est possible le "petit plus pour assumer la charge du chien. 

Le choix du chien

Un choix concene la personne  et pas les petits- enfants, les enfants...Le choix d'une race ou d'un type de chien se fait en fonction de l'âge, du mode de vie, du cadre de vie, de la composition du foyer, du budget, du moyen de transport...De l'état de santé.  Toutes les races de chien et ou tous les types de chien ne correspondent pas à tout le monde. Il est important de se faire accompagner dans ses possibilités par un professionnel en comportement canin, par le Club de race...Puis par l'éleveur.  En optant pour un naisseur identifiant par ADN ses chiots et ses chiens adultes en plus de l'identification légale. à tous les âges, l'acquisition d'un chien se fait après mûre réflexion, au troisième âge, c'est comité que le projet se construit. 

Regards sur le Pékinois 

Ce très petit chien originaire de Chine aux allures d'un  chien - lion est une race de chien très ancienne remontant au moins à 2000 ans avant JC. Cet épagneul de la cour impériale de Chine a toujours été sacré. Lors de la chute de cet empire impérial quelques sujets Pékinois ont été sauvé, ceux-ci ont été offert à la Reine Victoria et à plusieurs Duchesses du Royaume - Uni. Dès lors au 19eme siècle, les Pékinois eurent beaucoup de succès en Grande-Bretagne. La Grande-Bretagne a pris sous son patronage cette très ancienne race. 

L'aspect du Pékinois

Le Pékinois malgré sa très petite taille, il a un aspect "léonin" avec une expression vive et intelligente. Il mesure au garrot entre 14-25 cm pour un poids compris entre 3-5 kg. 

Une robe  de poil long  et droit avec une crinière ne s'étendant pas après les épaules et formant une collerette autour du cou. Le poil est rude et le sous poil épais et plus doux nécessite 3 brossages quotidiens et 1 bain tous les 3 mois. 

Mode et Cadre de vie...

Le Pékinois est parfait pour un célibataire, des personnes âgées, il n'est pas du tout sportif son besoin d'exercice est très bas,  il aime être proche de son propriétaire mais n'aime pas jouer avec les enfants avec lesquels il n'a pas d'affinitées. Il est querelleur avec les autres chiens et il n'aime pas les chats. Ce très petit chien léonin est  loyal et très courageux, très aboyeur  c'est un très bon gardien d'intérieur. Il apprécie le calme d'un appartement ou d'un maison. 

Il a un sacré caractère très affirmé, une éducation par méthodes douces lui convient.   

L'acquérir  Son acquisition après mûre réflexion auprès d'un éleveur-sélectionneur qui identifie par ADN en plus de l'identification obligatoire par puce ses chiens et ses chiots. Le club de race pourra vous renseigner également tout en vous communiquant les coordonnées des portées disponibles.

Le coût alimentaire mensuel est estimé à 20 € toutefois ce montant pourra augmenter suivant l'inflation.

Le Pékinois a une espérance de vie de 15 ans et plus. Un engagement sûr de soi sinon passez votre chemin.

La place du chien en zone urbaine

Une de plus en plus remis en cause par des préjugés... Et également par un manque de civisme de certains détenteurs. Il faut le dire ! Cependant, tous les propriétaires et tous les détenteurs sont corrects envers autrui, il ne faut pas les oublier ainsi que leurs chiens.

Mon catalogue

 Je vous présente une série de supports pédagogiques numériques concernant la place du chien dans la ville ; Dans la rubrique "générale" de mon catalogue, d'autres sont à découvrir dans les autres rubriques.

• Les races de chien les plus adaptées pour un habitat de surface réduit  en milieu collectif 
• Le savoir -vivre en ville avec un chien
• La circulation des chiens guides d'aveugles et d'assistances...
• Bien d'autres à découvrir 

Ces supports pédagogiques sont disponibles 24h/24 et 7 jours sur 7