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Les chiens en Allemagne
- Le 04/11/2024
Les chiens en Allemagne
Ces dernières semaines dans les médias français, les chiens en Allemagne ont fait beaucoup parlé à cause de l'idée d'un journaliste économiste.
En Allemagne, les chiens ne sont pas seulement des animaux de compagnie, mais ils reconnus comme une partie intégrante de la société et de la culture. Avec une population canine dépassant les 10 millions, l'Allemagne se classe parmi les pays européens avec le plus grand nombre de chiens domestiques. La législation allemande exige que tous les chiens soient enregistrés et identifiés par puce électronique, et les propriétaires doivent s'acquitter d'une "Hundesteuer" (taxe sur les chiens). C'est cette taxe sur les chiens dont la recette de 421 millions d'euros en 2023 a inspiré ce journaliste économiste.
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Le chien en France
- Le 24/05/2023
Le chien en France
Depuis des milliers d'année les chiens sont en France
Le chien dans la France
Le chien accompagne la population depuis la domestication d'une sous espèce de canidés sauvages qui date de millier d'année. Au travers de ces millénaires, la place du chien dans la société française a été adulé par la Royauté dont les Rois et les Reines de France ont qualifié les chiens d'être exceptionnels ; Tandis que l'église catholique puis d'autres religions ont qualifié le chien d'irréligieux, en interdisant à leurs fidèles d'avoir un chien.
La connaissance, c'est le pouvoir
L'idée de Charlemagne
L'enseignement de la population française voulu par le Roi Charlemagne en modifiant le modèle d'école existante dès l'antiquité. En effet, au 8eme siècle le Roi Charlemagne avait déclaré ses intentions " Qu'on rassemble non seulement les fils de condition modeste, mais les fils bien nés. Qu'on établisse des écoles pour l'instruction des garçons. Que dans chaque monastère on enseigne les psaumes, les notes, les chants, le comput, la grammaire et qu'on dispose des livres bien corrigés. Que les Prêtres tiennent les écoles dans les bourgs et les campagnes ; Et si un des fidèles veut leur confier ses petits-enfants pour étudier les lettres, qu'ils ne refusent point de les recevoir et de les instruire, mais qu'on contraire ils les enseignent avec une parfaite charité, en se souvenant de ce qu'il a été écrit. Ceux qui auront été savants brilleront comme les feux du filament, et ceux qui auront instruit plusieurs dans la voie de la justice luiront comme des étoiles dans toute l'éternité. Et, qu'en instruisant les enfants, ils n'exigent pour cela aucun prix et ne reçoivent rien, excepté ce que les parents offriront volontairement et par affection ".
Le Roi Charlemagne avait créé l'école gratuite pour les enfants du sexe masculin de toutes les classes sociales sous l'instruction des représentant de l'église. L'objectif du Roi Charlemagne était d'apprendre à lire, à écrire, à compter, et la pratique religieuse. Pendant la Renaissance, l'imprimerie va révolutionner l'enseignement en favorisant l'ouverture de collège à travers les grandes villes du pays. L'enseignement était toujours réservé aux garçons. Parce que les filles étaient destinées au mariage et à la maternité. Jusqu'au 19eme siècle, l'enseignement se déroulait dans les lieux de culte chrétien ; Tous les enfants quelque soit sa classe sociale portaient le même uniforme et dormaient dans un dortoir. D'autres religions organiseront l'alphabétisation de ses fidèles dans le but également de mieux comprendre les textes religieux.
Au 13eme siècle, ouvra à Paris la première université. L'université n'étant pas gratuite les étudiants étaient obligés de demander l'aumône.
La scolarisation des filles
Par le passé, les filles apprenaient par filiation maternelle à s'occuper de la maison, des travaux de la ferme...Chez les paysans. Par contre les enfants du sexe feminin des classes bourgoises apprennaient auprès des parents ou elles étaient placées en couvent; Les filles issues de la noblesse apprennaient par un tuteur au château ou en classe en monastère. Les fillettes n'étaient pas prioritaires quant à l'instruction cependant entre le 13eme et le 14eme siècle, ces fillettes pouvaient bénéficier de classe à condition d'être dirigée par une maîtresse L'instruction était surtout religieuse car c'était par la femme, de mère en fille, la transmission de la religion. Pourtant dans l'église, une voix s'éleva pour suggérer l'enseignement aux filles. Ainsi, au 17eme siècle, le "Cygne de Cambrai" un Noble homme d'église, théoricien, écrivain écrivait "Que les femmes bien élevées contribueraient au bien, qu'elles sont aussi responsables de la valeur de l'éducation des hommes car c'est la mère qui influence les moeurs, les vertues, les modes de vie d'un garçon , ainsi que les femmes qui l'accompagneront plus tard dans sa vie d'homme". Lors du siècle des Lumières le débat sur l'éducation des filles continua.
Enseignement sous réserves
Enseigner tout en se préoccupant des connaissances, de l'esprit critique...Suivant la classe sociale. Voltaire voulait réserver l'instruction au noble et à la bourgoisie car il ne voulait pas que la laboureur (paysan) devienne pensant, il était préférable pour Voltaire d'avoir des gueux ignorants que savants (Un petit rappel le Roi exila Voltaire à l'étranger pour la teneur de sa philosophie).
Tandis que Diderot prônait l'instruction pour toutes les classes sociales. En 1792, un projet d'école laïque, égale et libre fut mener par Condorcet. Cependant après la révolution française la société resta dans l'optique du siècle des Lumières c'est-à-dire à une instruction d'élite au lieu de celle du peuple libre. Loin du mouvement de philosophie demandant la dignité de l'homme en qualité d'individu mais pas tant que sujet du Roi. Ces "Hauts placés" en plus de n'avoir aucune reconnaissance pour les "sans-culottes" actifs lors de la révolution. Le peuple révolutionnaire dont les hauts placés (Montagnards) de l'Assemblée constituante avaient pris comme appui. Auraient -ils eu cet appui si le peuple aurait été plus instruit ?
Il existait deux modèles éducatifs :
- Celle porteuse de réflexion réservée aux élites
- Celle des moeurs sans esprit critique réservé au peuple
Les Hussards de la République
La démocratisation de l'éducation pour tous commença en 1833 sous les hussards noirs de le République ; Les Hussards noirs de la République sont des instituteurs du secteur public découlant de textes de loi dit de Jules Ferry (1890). Cent ans après la Révolution Française, une révolution dans le système scolaire de la France. La France a connu en 100 ans 4 révolutions, deux républiques, deux empires, deux monarchies. Il a été décidé dans le but de stabilité du pays d'ancrer les valeurs de la républicaines dans l'esprit des jeunes générations grâce à l'éducation. Car malgré le suffrage universel le pays était toujours sous la menace des clans des forces Bonarpartistes et celles Royalistes...
L'éducation au centre des valeurs de la République française dont Monsieur Jules Ferry bien avant de devenir Minsitre de l'éducation nationale s'exprima "Entre toutes les nécessités du temps présent, entre tous les problèmes, j'en choisirai un auquel je me consacrerai tout ce que j'ai intelligence , tout ce que j'ai d'âme, de coeur, de puissance physique et morale, c'est le problème d'éducation du peuple". Une fois Ministre Jules Ferry tenu parole et il fit voter en 1881 et 1882 d'important textes de loi, ceux -ci imposent une scolarisation obligatoire pour tous les enfants de 6-13 ans d'âge sur les principes de gratuité, laïcité, obligation. Puis, lors de la 3eme République, en 1881, l'enseignement religieux a été abandonné dans le programme scolaire public. En 1905, en décembre une loi sépare l'Etat et l'église. Toutefois, la véritable unification de l'instruction en France, commença après la première guerre mondiale ; Jusqu'alors, ce sont un système scolaire pour les notables et un pour le peuple. Le peuple s'arrête à l'âge de 12 ans au certificat d'études tandis que les enfants des classes aisées vont jusqu'au BAC.
Il y avait bien une bourse pour les élèves méritants afin de poursuivre les études mais, ce sont les parents à décider puisse que les enfants étaient une main d'oeuvre aux champs... Le programme scolaire des garçons et des filles devient unique seulement en 1924.
Les réformes de l'éducation nationale quant à l'accessibilité aux postes d'instituteurs de postulant ne sortant pas de l'école normale primaire L'école normale supérieure est un établissement public de formation des instituteurs (Ex Hussards noirs de la Républiques), d'enseignants...Dans les domaines de scientifiques, littéraires, technologiques, langues.... Un établissement dont les possibilités d'intégrer sont sur dossier et ou par concours après une classe préparatoire aux grandes écoles ; En effet, l'école normale primaire et ou supérieure est sélective. Une sélection à fin d'amener les enfants de la République vers le haut, la chance d'apprendre pour grandir socialement.
Les cent ans de bouleversement de la société française après la première révolution, l'éducation du peuple dans les valeurs de la République française avait été élaboré par Jules Ferry avec son bataillon de Hussards noirs dans tout le pays. Quelques soit la classe sociale, ces Hussards noirs vont unir les élèves au civisme et aux valeurs de la république....En plus d'enseigner les savoirs. L'école normale avait été ouverte en 1833 dans le but de former les instituteurs laïques. Une formation dans la dignité, dans l'esprit de dévouement et de respect de l'ordre hiérarchique. Ces instituteurs étaient habillés de noir (pantalon, longue redingote, gilet, casquette), eux mêmes étaient issus de famille d'agriculteur, d'ouvrier, d'employés...De petits rentiers. En passant sous le statut de fonctionnaire d'Etat dès 1889, les Hussards noirs représentaient dès lors une petite bourgeoise d'état, l'élite de la 3eme république tant morale, qu'intellectuelle et civique.
Les objectifs de carrière ce sont éloignés des premiers Hussards noirs de la République de transmettre le savoir, d'avoir une carrière passion qu'un bon plan de métier. Au 20eme et au 21eme siècle, certains instituteurs se réfugient dans les origines sociales des élèves pour déterminer qui va ou pas réussir loin de l'ambition des Hussards noirs de la République du 19eme siècle. L'école normale primaire (instituteurs du primaire) connait une grande réforme en 1990 qui modifie le fonctionnement tout en mettant un clap de fin aux ENP (école normale primaire). 10 ans plus tard, les critiques se font entendre sur la formation d'instituteurs et de professeurs. Vu que, cette formation professionnelle est basée sur une doctrine inspirée sur une vision instrumentale de l'homme, et véhiculée par les soi-disant science de l'éducation et autres psychopédagogies, qui y règnent, est le refus du savoir et de la transmission ; Ces optiques sont des ambitions opposées au Ministre Jules Ferry.
La culture de la Renaissance à nos jours
Par conséquent, depuis le Moyen-Âge les niveaux d'éducation de la population française étaient différentes à cause du programme d'enseignement suivant la classe sociale. L'esprit critique étant pour les classes privilégiés que pour les gens du peuple ; En résumé, un statut de décideur pour les élites et de suiveur pour les "sans culottes". Pendant la Renaissance, puis lors du siècle des Lumières la liberté intellectuelle et spirituelle conséquente de l'instruction porteuse de réflexion a commencé à intégrer dans la société française les chiens. Les chiens ont été choisi pour la compagnie, les classes aisées ont imité les Monarques et les peintures d'art. Les artistes peintres et les poétes ont humanisé les chiens dans leurs oeuvres littéraires ou d'arts.
Sauf que l'humanisation des chiens par la culture, s'est arrêtée lors du commencement de l'industrie.
Le peuple n'avait pas gagné à une instruction porteuse de sens critique mais après la révolution française tous les citoyens français quelque soit sa classe sociale avait obtenu le droit d'avoir un chien ainsi que le droit de chasse. Un droit de chasse qui était alors réservé aux Nobles... Au siècle de la révolution industrielle, le niveau de vie augmente et éloigne les risques de famine. Donc, il a été plus simple de nourrir un chien dans la famille.
La liberté et l'égalité de tout citoyen d'avoir un chien ont été remis en question au milieu des années 1800, l'établissement d'une taxe sur les chiens avait pour but d'empêcher les citoyens pauvres et modestes de bénéficier de la compagnie d'un chien. Cet objectif d'entraver une classe sociale de possèder un chien amena des atrocités sur les chiens car aucune classe sociale même aisée voulut payer cette taxe. Par volonté politique, cette taxe fut supprimer en 1971.
Dès lors la place du chien a été problématique ; Les préjugés sociaux et populaires infondés sur les chiens perdurent. Loin du temps où dans la culture française l'humanisation des chiens étaient mis en oeuvre. Un échec d'humanisation par la culture au profit du profit industriel. Cette perte de respect de l'individu chien a t-elle été perdu avec la fin de la monarchie française ? En regardant le Royaume -Uni, nous pouvons le penser.
Les pistes de protection du chien sont à envisager
Le retour dont chacun a du chien, découle de la culture, d'un héritage familial ; D'ailleurs le motif d'acquisition d'un chien en France, c'est parce qu'il y avait la présence d'un chien dans le foyer des parents. Qu'une fois dans leur chez-soi, un chien vient agrandir le nouveau foyer. Il y a une vingtaine d'année un foyer sur deux avait au moins un chien sauf qu'en 2022, ce sont 20 % des foyers possédant au moins un chien. Le chien est entrain de disparaître peu à peu du paysage français. Une perte d'histoire liée à la France, s'en va au fil des textes loi visant la délinquance. Qui était déjà d'actualité à la fin des années 1700 en Belgique. Le premier pays avait voté des lois contre des chiens molosses détenus alors par des commerçants de bétail et de bouche dont les chiens féroces terrorisés une partie de la ville. Depuis les années 1800, les rebelles et leurs chiens amènenet peu à peu l'exclusion des chiens de la vie des français. Eux-mêmes victimes des méfaits de "ces rebelles".
Ensuite, par une catégorie juridique propre, il serait envisageable de reconnaître l'individu chien, le respecter comme être vivant doué de sensibilité, n'étant plus assimilable à un objet ou à une chose (code civil et pénal). Mais, dont l'intégrité peut être atteinte par des mesures imposées dites de "protection animale". et de "préservation économique" ; Des mesures qui vont à l'encontre de sa bonne santé, de son bien être...
La stérilisation et ou la castration sont des exemples d'atteinte à l'intégrité d'un animal. Tout comme des traitements...Dont les conséquences à court et à long terme sont néfastes pour cet être vivant doué de sensibilité. En choix et conscience, ce n'est pas parce qu'un chien ou une chienne n'est pas castré ou stérilisée que son propriétaire va le ou la faire reproduire. Le fait d'avoir une chienne, le propriétaire ne devrait pas être considéré comme éleveur d'office.
Alors qu'un projet de texte de loi veut contraindre les propriétaires d'animaux. Chaque parent d'un chien et ou d'une chienne devraient être protégés contre la négligence par profit. Aucun parent devrait être mis en défaut, en faute parce qu'il pense le contraire et veut prendre une autre voie que celle avancée ; Aucune loi protége les propriétaires d'animaux des abus... Il serait nécessaire d'imposer qu'avant tout traitement, avant tout achat pharmaceutique, de produit divers...Alimentaire ; La transmission d'une notice explicative sur les plus (avantages) et les moins (effets indésirables, conséquences comportementales...). Une notice a temps de réflexion, d'explication sans parti pris en proposant d'autres possibilités, à lire, à donner le consentement librement sans contrainte de poursuite pour négligence. Être libre d'humaniser son chien, sa chienne en agissant en empathie, en bienveillance...
La défense du chien en général devrait être instruites dans les valeurs de la République afin de protéger les chiens de tout propos non laïque. Amener la laïcité dans la présence, la place du chien dans notre société, dans nos villes. Il est urgent d'agir.
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Un pays européen sans abandon de chien, la Hollande
- Le 13/09/2022
Un pays européen sans chien abandonné, la Hollande
Un pays européen se distingue des autres membres par l'absence d'abandon de chien sur son sol. Comment, la Hollande a pu en arriver à vider les rues de chien errant ?
Une longue action de protection animale
Tout avait commencé lors d'une épidémie de rage pendant et au cours des années 1800 au 19eme siècle. Les habitants sous la peur d'attraper cette maladie mortelle, mettaient leurs chiens à la rue même des chiens de race. Les autorités à fin de freiner la population canine avait mis une taxe sur les chiens. Cette taxe avait provoqué encore plus d'abandon dans les rues. Ce qui avait augmenté le risque de morsure pour les citoyens et donc d'épidémie de rage.
L'avancée de la recherche médicale par Louis Pasteur, le vaccin anti rabbique trouvé par Pasteur a changé la vie de beaucoup de chiens dans le monde. Les chiens vaccinés ont pu reintégrer la chaleur d'un foyer.
Une taxe n'a pas été la solution au Pays Bas tout comme en France à la même époque. La France a eu l'excellente idée de supprimer cette taxe en 1971.
Au 19eme siècle, la Hollande avait plus de chiens errants qu'en Thaïlande de nos jours. La situation était très critique. Malheureusement, c'était en 1864 seulement qu'une première agence de protection des animaux fut créée ; Les premières sanctions pour maltraitance ont eu lieu en 1866. Puis, les premières associations furent créée en 1886.
Celles-ci ont combattu pour une prise en charge digne et respectueuse des chiens sans abri. Au fil des ans, des siècles les associations sont arrivées à vider les rues sans qu'aucun chien soit tué.
Un programme au début des années 2000
L'action menée pour résoudre le cas des chiens errants, le programme "CNVR" c'est porté sur 4 actions
- Recueillir,
- Stériliser,
- Vacciner,
- Identifier,
- Restituer
Ce programme est financé par l'Etat.
En moins d'une vingtaine d'année, de 30 000 chiens errants en 2002, le nombre de chien errant est passé à zéro (0)) en 2020. Le programme CNVR est une réussite tout comme les autres actions détaillées ci-dessous.
Pédagogie, Gratuité, avantage fiscaux...Accès autorisés.
D'autres actions auprès de la population
Les habitants ont été sensibilisé pour qu'ils s'occupent eux -mêmes des chiens errants ; Ainsi, des chiens sans abri ont pu retrouver un foyer. 90 % de la population ont répondu favorablement en adoptant au moins un chien sans abri. Par conséquent, le nombre de la population des chiens sans foyer a été réduit d'autant ou plus.
Des campagnes de stérilisation gratuite ont été faites pour les chiens à la rue ou dans les refuges.
Un citoyen qui adopte un chien sans famille a un avantage fiscal. L'adoption est incitée fiscalement.
Tout citoyen peut demander le remboursement de toute dépense liée à l'assistance et la protection de leurs animaux sur la déclaration de revenu.
Une taxe a été mise sur les chiots élevés dans des usines à chiot .
Une différence de statut juridiquestatut juridique, l'animal fait parti de la famille tandis qu'en France l'animal est un objet. De cette considération juridique s'en suit des conséquences législatives très sévères contre ceux abandonnant un animal.
Des lois de protection animale contre la maltraitance et l'abandon, une personne qui abandonne un chien risque une amende de 16 000 € et jusqu'à 3 ans de prison. Il est interdit d'euthanasier un chien, un animal par confort. C'est un juge qui donne l'autorisation pour un animal souffrant d'une maladie terminale. Dans le cas contraire sans autorisation, le Vétérinaire est coupable d'un acte criminel. Tout comme quelqu'un attaquant un animal.
Le chien en Hollande, fait parti de la famille comme un membe à part entière Les chiens peuvent prendre le bus, le métro, le ferry gratuitement et les chiens sont autorisés dans les commerces, les restaurants...Facilitant les déplacements avec un chien. Le chien fait parti et compte comme un membre de la famille.
La place du chien dans la société est le meilleur moyen de lutte contre les abandons.