Choisir la race de chien à élever 

Le fait de choisir la race de chien à élever est une décision importante pour tout éleveur qu'il débute ou est expérimenté.  Il existe de nombreux facteurs à prendre en compte pour faire le bon choix, et il est essentiel de se renseigner en profondeur sur les caractéristiques spécifiques de chaque race.

Les éléments à considérer 

Quelques éléments à considérer pour sélectionner une race adaptée à l'élevage.

La popularité et la demande

Il est important de considérer la popularité et la demande pour une race spécifique, cette popularité peut s'effacer tous les 3-4 ans.  Certaines races de chien sont pus demandées que d'autres, ce qui peut sembler une facilité à trouver rapidement des clients pour les chiots en vente. Cependant, la popularité ou plutôt la mode du moment n'est pas si rentable que ça...Car, cela conduit à une surproduction et à des soucis de santé, de grave soucis comportementaux liés à l'élevage intensif.

Les caractéristiques physiques et comportementales

Chaque race a ses propres besoins en matière d'exercice, de toilettage et de soins de santé. Par exemple, les races de travail comme les chiens de berger ou les chiens de chasse peuvent nécessiter plus d'exercice et d'activités mentales, tandis que les races à poils longs plus de toilettage qu'un poil ras.  Il est essentiel de choisir une race de chien dont les beosins correspondent à vos capacités, à votre disponibilité,  à votre environnement d'élevage.

Les problèmes de santé héréditaires 

Certains races sont prédisposées à des problèmes de santé héréditaires, ces maladies héréditaires nécessitent des dépistages par des tests génétiques et d'autres dépistages par  d'examende santé régulier ;  Les coûts de dépistage sont onéreux mais aident à prévenir la propagation de maladies héréditaires et à maintenir une lignée saine.

La taille de la portée

La taille moyenne des portées varie d'une race à une autre, varie suivant le dégré de consanguinité...Certaines races ont des grandes portées telles que le Setter Irlandais, le setter anglais. Par contre d'autres races ont moins de chiots comme le Chihuahua, le Carlin.  Il est important de prendre en compte la taille de la portée lors de la planification de l'élevage afin de déterminer à partir des charges, la marge de rentabilité qui sert de revenu pour l'éleveur et de continuité de soins (alimentation, frais vétérinaires, frais de dépistage, frais d'enregistrement...) auprès des chiens adultes, des reproducteurs, des chiots dans l'établissement.  La taille de la portée assure une gestion comptable et évite la surpopulation.

L'élevage canin n'est pas subventionné à la différence d'autres élevages d'animaux en France. Les charges y sont très élevées tout comme les contraintes d'installation. Les petites structures d'élevage ne sont pas exonérées de charges, de taxes comme dans un pays d'Europe.

La réglementation et les certifications

Certaines race de chien sont soumises à des réglementations spécifiques notamment les races de chien catégorisées. Puis, qui dit race de chien, dit enregistrement auprès d'un livre des origines affiliés à la FCI. Ce Livre des Origines Françaises (LOF), donc il faut bien comprendre les exigences légales concernant la distance, la surface...En lien avec l'installation de l'établissement et les formalités légales d'enregistrement, de cession....Être bien formé à l'élevage avant tout début.

Se lancer dans l'élevage nécessite une réflexion approfondie et une compréhension des responsabilités accompagnant l'élevage canin, auprès des clients, des chiots. Le projet d'élevage commence dès une première portée de sa chienne, cette première portée est soi un tramplin à voir plus grand dans la passion de la race ou parfois pour gagner de l'argent loin des préoccupations de bien être, de dépistage...Aux acquéreurs de faire la différence plus tard en sachant déterminer le bon cadre d'élevage de chien.  L'élevage de chien est un engagement à long terme qui nécessite des capitaux, d'être formés, de pratiquer avec passion et dévoument, responsabilité.

Comment devenir ostéopathe animalier ?

Devenir ostéopathe animalier est un parcours passionnant qui allie l'amour des animaux à la pratique d'une médecine douce et respectueuse de leur bien-être. L'ostéopathie animale est une discipline qui a pris son essor ces dernières années, offrant une alternative aux traitements traditionnels pour les animaux souffrant de troubles musculo-squelettiques et fonctionnels. Ce métier passionnant nécessite non seulement des connaissances approfondies en anatomie et physiologie animale, mais aussi une bonne condition physique et un excellent contact avec les animaux et leurs propriétaires

Le parcours de formation

Pour ceux qui aspirent à devenir ostéopathes animaliers, le chemin est exigeant mais gratifiant. En France, le titre d'ostéopathe animalier est réglementé et nécessite une formation spécialisée.

Il existe deux voies principales pour accéder à cette profession :

 La première est de suivre une formation en ostéopathie animale d'une durée de cinq ans, sanctionnée par un examen d'aptitude du Conseil National de l'Ordre des Vétérinaires (CNOV) et l'inscription au registre national d'aptitude.

 La seconde voie est un cursus vétérinaire complété par une spécialisation en ostéopathie.

Une profession dédiée au bien-être et à la santé des animaux, il est nécessaire de suivre une formation spécialisée d'au moins cinq ans après le baccalauréat. Cette formation doit être complétée par la réussite à l'examen d'aptitude du Conseil National de l'Ordre des Vétérinaires (CNOV) pour être inscrit au registre national d'aptitude et pouvoir exercer légalement.

Qui forme ?

Les formations en ostéopathie animale sont proposées par divers organismes et écoles spécialisées. Elles couvrent des domaines tels que l'anatomie et la physiologie animale, la biomécanique, ainsi que des techniques de manipulation musculo-squelettique. Ces formations sont souvent coûteuses et il est important de s'assurer que l'école choisie est habilitée à présenter ses candidats à l'examen du CNOV.

Pour devenir vétérinaire ostéopathe animalier, il est nécessaire tout d'abord d'obtenir un Diplôme d'Etat de Vétérinaire après un cycle d'étude de 5 ans. Cette formation complémentaire en ostéopathie est recommandée afin d'obtenir le Diplôme inter école d'ostéopathie vétérinaire. L'ostéopathie vétérinaire est une spécialisation privilégiant le bien êre animal et impliquant souvent une pratique exclusive.

Les animaux, l'environnement, les propriétaires...

L'ostéopathe animalier peut travailler avec une grande variété d'animaux, des chevaux aux chiens, en passant par les chats et même les animaux de ferme. Le travail est souvent itinérant, avec des interventions directement chez les propriétaires d'animaux ou dans des structures telles que des centres équestres ou des exploitations agricoles...

Les compétences personnelles et professionnelles

La pratique de l'ostéopathie animale requiert non seulement des compétences techniques, mais aussi une bonne condition physique, surtout lorsqu'il s'agit de traiter des animaux de grande taille. De plus, il est essentiel d'avoir un bon contact avec les animaux et leurs propriétaires, car la confiance et la communication sont des éléments clés de la réussite des soins.

Pour ceux qui sont motivés par le désir d'aider les animaux et de contribuer à leur qualité de vie, devenir ostéopathe animalier est une voie professionnelle enrichissante. C'est une carrière qui demande dévouement, patience et passion, mais qui offre en retour la satisfaction immense de voir les animaux retrouver mobilité et bien-être.

Les modalités des métiers canins en Suisse

Chaque pays rédigent des textes de loi encadrant les métiers animaliers. 

Les conditions d'exercice des métiers Dogsitter, éleveur, refuge...En Suisse 

En Suisse, l'ordonnance Fédérale de 2008 encadre les manières de détention, d'utilisation et de traitement...Des  animaux dont les chiens et des chats. Cette ordonnance règlemente les conditions de soins suivant les catégories animales.

Les catégories animales sont :

• Animaux de rente
• Animaux d'expérience
• Animaux sauvages
• Anmaux domestiques
• Animaux de compagnie

Chaque animal dépendant d'une de ces catégories bénéficie d'un minimal de protection quant à son logement, à  l'alimentation, à l'abreuvement,  aux besoins comportementaux...Allouée par cette ordonnance fédérale de 2008. Ce qui implique des obligations légales à ceux qui les détiennent.   

La particularité de la Suisse, c'est le nombre chien en élevage et en garde...maximun par professionnel. Ainsi, pour le bien être d'un animal, une autorisation est nécessaire pour ceux :

• Exploitant une pension (donc Dog Sitter), un refuge de plus de 5 places
• Au service de garde d'animaux de plus de 5 places
• Celui qui remets à des tiers sur une année un nombre d'animaux supérieur à ces seuils
  • 20 chiens ou 3 portées de chiot
  • 20 chats ou 5 portées de chaton
  • 100 lapins, lapins nains ou cochons d'Inde
  • 300 souris, rats, hamsters, gerbilles
  • 1000 poissons d'ornement
  • 100 reptiles 
  • La descendant de plus 25 couples d'oiseaux (taille égale ou inférieur à la perruche callopsitte), de plus de 10 couples d'oiseaux (taille supérieur à la perruche callopsitte), de plus de 5 couples d'oiseau Aras ou de Cacatoès.

L'autorisation est délivrée pour au moins 10 ans,

Une autorisation s'accompagnant d'obligation et de conditions portant sur 

• Le nombre d'animaux et l'ampleur de l'activité
• La détention, l'alimentation, le transport, les soins, la surveillance 
• Exigence  quant au personnel (formation) 

Le personnel et le gardien  (professionnel) des animaux jusquà un maximum de 19 animaux 

Par conséquent,  en Suisse ce n'est pas en possédant une chienne qu'on est d'office éleveur.

D'autres pays ont fait le nécessaire pour encadrer la vente au détail d'animaux de compagnie ; Comme récemment aux USA. 

Un métier absent dans le secteur de soins vétérinaires 

La grande majorité des propriétaires d'animaux connaissent la profession vétérinaire et la profession d'auxiliaire spécialisée vétérinaire. Tout en connaissant sans réellement connaître les attributions de cette dernière profession. 

 L'auxiliaire spécialisée vétérinaire 

 L'auxiliaire spécialisée vétérinaire plus connu sous le signe ASV.

Comment devenir une ou un auxiliaire spécialisé vétérinaire ?

Il est nécessaire d 'avoir un niveau BAC ou équivalent, la durée de la formation dure 2 ans en alternance, la formation est inscrite au RNCP . 

Dans 70 % des cas à la fin de la formation qui ait obtenu ou pas l'examen final, il est possible de travailler en tant que ASV. Le salaire sera suivant l'obtention du titre certifié d'ASV

Un ou une ASV  n'a donc rien à voir avec la qualité d'un infirmier vétérinaire. Un métier inexistant dans ce secteur de soins vétérinaire.

Dans le métier de ASV, plusieurs échelons 

Le travail d'un ou une ASV ?

Plus connu sous le sigle "ASV"  comme mentionné ci -dessus, l'Auxilaire spécialisé vétérinaire  travaille en établissement vétérinaire sous la direction d'un vétérinaire,. Une ou un ASV n'a pas le droit de pratiquer des actes vétérinaires comme la pose de cathéter, de pratiquer une prise de sang, de pratiquer une vaccination..De pratiquer un détratrage. Pourtant ces pratiques d'acte vétérinaire se font contrairement à la législation en vigueur en France (Article L243-1 à L243-4).  Une mise en avant d'une pénurie de vétérinaire serait avancée..

Un vétérinaire et un ou une ASV n'ont pas le même curcus de formation par conséquent, l'acte médical vétérinaire engage la responsabilité de l'employeur (vétérinaire).  Le Syndicat et l'Ordre vétérinaire sont bien conscient de ces pratiques effectuées sous le manteau ; Et, luttent en interne. 

Aux propriétaires d'animaux ignorent quant aux actes médicaux vétérinaires, en laissant faire un de ces actes vont mettre malgré eux, leur animal en danger ou en ignorant qu'un tel acte va être réalisé par un non vétérinaire, c'est une tromperie. 

Dans les quelques années à venir dans 3-4 ans, un nouvel échelon (6) devrait voir le jour sans que ce nouvel échelon comble un manque de Docteur vétérinaire en exercice. 

Un métier existant 

Le métier absent dans le secteur vétérinaire, au fil de la lecture de mon article, vous avez compris qu'il s'agit du métier d'infirmier vétérinaire. 

Qu'un ou une ASV ne pourra pas exercer un tel métier même avec un échelon supplémentaire. Puisse qu'il n'y a aucune passerelle entre le métier de Docteur Vétérinaire et l'auxiliaire vétérinaire. Un infirmier est responsable de ses actes, l'auxiliaire vétérinaire ne l'est pas.  Il serait très intéressant d'avancer en créant un nouveau métier de soins vétérinaire. 

En prenant l'exemple de la profession infirmier où, après l'obtention du BAC, les postulants s'inscrivent sur "parcours sup" afin d'intégrer une école d'infirmier. en pré requis ; La formation dure 3 ans et composée  59 unités d'enseignement reparties dans  6 champs disciplinaires. à la fin des 3 ans de formation, seuls ceux ayant réussi à l'exament peuvent exercer en salarial ou en libéral. Par la suite, ces infirmiers d'état peuvent poursuivre leurs formations en se spécialisant. 

Par conséquent, pour combler une pénurie de Docteur Vétérinaire ou décharger d'une partie de soins médicaux vétérnaires en interne ou en ambulatoire.. Une ou un infirmier vétérinaire salarié ou en libéral pour répondre à la demande d'actes vétérinaire..

Il serait plus qu'avantageux de penser à la création d'un nouveau métier. 

Je vous remercie de m'avoir lu

Bonjour,

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Bien savoir à qui faire appel pour son chiot et ou pour son chien

Le cap sera bientôt passé, en effet la décision familiale a été prise d'agrandir le foyer en accueillant un membre canin dans la famille. 

Les parcours à suivre 

Le choix du nouveau membre 

Le parcours a respecté, c'est tout d'abord se renseigner quant auprojet de choix de la race de chien. Il est nécessaire impérativement que ce choix remplisse toutes les cases pour le présent et pour le projet futur de vie.  Cette "envie" d'une race de chien ne doit pas être dictée par un effet de mode ou afin de copier un proche ou une célébritée.... Aucune universalité dans une race de chien.  Chaque race de chien est unique de part sa sélection d'origine puis par sa lignée. 

Plusieurs points  sont à connaître afin d'en lister les idéales : 

• La sélection et les critères de choix 
• Comment choisir un chien de famille ?   
• Les erreurs à ne pas commetttre   
• Les critères à prendre en compte 
• Choisir une race de chien
• Les chiens de tailles minis et de petites tailles
• Exemple de quelques races de chien à la mode et leurs besoins particuliers

Le choix du naisseur 

Les 4 premiers mois de vie d'un chiot sont très important quant au développement comportemental. Cette période correspond avec les premières phases de prévention des accidents domestiques liés aux chiens. Par conséquent le choix du "lieu de naissance, des conditions de vie" de votre futur membre lest très important. 

Les points importants afin de choisir son naisseur sont :

• Connaître les différents naisseurs et la législation encadrant la cession d'un chiot en France 
• Les éleveurs canins en France
• Elevage et élevage canin en France
• Les conditions de vie des chiots
• Les phases du développement comportemental des chiots
• La législation quant à la cession d'un chiot
• Cas particulier
• Acquérir son chiot

Chacun son métier et les chiots seront bien formés 

Le risque serait de confondre les différents métiers et loisirs propoosés ; Ils ne sont pas pareils et ne forment pas le chiot vers la même direction. Cette direction étant celle d'un membre de la famille.   

Savoir ce qu'on entend par   : 

• Education et dressage pas de confusion 
• Education et éducation
• Les méthodes éducatives
• Les courants de donnée
• Quelques vérifications à faire 
• Faire attention à 
• Parcours de formation d'un chiot 
• Les actions de socialisation... Collectif ou pas ? 
• Comportemetaliste canin
• Education Comportementale canine 
• Education
• Moniteur de club